Histoire
18 février 2025
Priorité à la réalisation des ODD en Côte d’Ivoire et à un partenariat renforcé pour 2026-2030
" 2025 marque la fin d’un cycle stratégique avec le Plan National de Développement 2021-2025 (PND) et le Cadre de Coopération des Nations Unies pour le Développement Durable (CCDD) 2021-2025. Nous devons capitaliser sur nos acquis et travailler ensemble à relever les défis à venir pour accompagner la Côte d’Ivoire vers son ambition de devenir un pays à revenu intermédiaire de la tranche supérieure d’ici 2030. "Ces propos de la Ministre de l’Économie, du Plan et du Développement, Nialé Kaba, ont donné le ton de la retraite annuelle de planification stratégique des chefs d’agence du Système des Nations Unies, qui s’est ouvert le 10 février 2025 à Abidjan.Aux côtés de la Coordonnatrice résidente des Nations Unies, Hélène N’Garnim-Ganga, la Ministre a souligné l’importance de renforcer le partenariat entre le Gouvernement et les Nations Unies pour réduire les vulnérabilités socio-économiques et accélérer les progrès vers les ODD. Elle a insisté sur la nécessité de solutions innovantes et de financements durables pour relever les défis liés notamment au développement du capital humain et des infrastructures stratégiques, à l’autonomisation des jeunes et des femmes, à la lutte contre le changement climatique, ainsi qu’à la formalisation de l’économie. Un partenariat renforcé pour des solutions durablesHélène N’Garnim-Ganga a, quant à elle, réaffirmé l’engagement des Nations Unies aux côtés du Gouvernement ivoirien, non pas en tant que simple bailleur, mais comme un partenaire stratégique mobilisant expertises et ressources pour accélérer le développement. « Nous devons adopter une approche plus stratégique, pragmatique et intégrée, centrée sur les ODD, afin d’accroître l’impact de nos actions et de mieux les aligner avec les priorités nationales de développement », a-t-elle souligné. Elle a également salué les progrès accomplis par le pays, notamment en matière de diversification économique, de sécurité alimentaire, d’accès aux services sociaux et de gouvernance.Cette retraite a permis d’évaluer les résultats du CCDD 2021-2025, en lien avec le PND 2021-2025. « L’évaluation indépendante du CCDD 2021-2025 a mis en lumière l’impact significatif de l’action des Nations Unies sur la résilience économique et sociale, la diversification économique, la sécurité alimentaire, l'accès aux services sociaux, la gouvernance et la gestion des crises humanitaires », a rappelé la Coordonnatrice résidente.
Parmi les enseignements clés, cette évaluation a souligné la nécessité de renforcer la coordination entre les entités des Nations Unies, le gouvernement, la société civile et les partenaires techniques et financiers, d’améliorer la cohérence des initiatives de développement et de garantir la durabilité des interventions. Mieux coordonner pour maximiser l’impactLa retraite a également marqué une étape importante dans la préparation du futur CCDD 2026-2030, qui intégrera les priorités du nouveau PND 2026-2030 ainsi que les enjeux de financement et de résilience. Dans un contexte international marqué par des défis financiers croissants, la rencontre annuelle des chefs d’agence a également été l’occasion d’explorer des stratégies pour une gestion et une mobilisation plus efficaces des ressources." Nous devons démontrer notre valeur ajoutée en tant que Système des Nations Unies et assurer une plus grande efficacité de nos interventions, en évitant les chevauchements et en maximisant notre impact collectif," a conclu Hélène N’Garnim-Ganga. , filtered_html
Parmi les enseignements clés, cette évaluation a souligné la nécessité de renforcer la coordination entre les entités des Nations Unies, le gouvernement, la société civile et les partenaires techniques et financiers, d’améliorer la cohérence des initiatives de développement et de garantir la durabilité des interventions. Mieux coordonner pour maximiser l’impactLa retraite a également marqué une étape importante dans la préparation du futur CCDD 2026-2030, qui intégrera les priorités du nouveau PND 2026-2030 ainsi que les enjeux de financement et de résilience. Dans un contexte international marqué par des défis financiers croissants, la rencontre annuelle des chefs d’agence a également été l’occasion d’explorer des stratégies pour une gestion et une mobilisation plus efficaces des ressources." Nous devons démontrer notre valeur ajoutée en tant que Système des Nations Unies et assurer une plus grande efficacité de nos interventions, en évitant les chevauchements et en maximisant notre impact collectif," a conclu Hélène N’Garnim-Ganga. , filtered_html
